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Margot BERGER

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Laboratoire / Tutelles Université de Bordeaux. Je suis actuellement en contrat post-doctoral financé par le "Grand Projet de Recherche de Bordeaux". Je fais partie des UMRs: "Ecophysiologie et Génomique Fonctionnelle de la Vigne" (EGFV, UMR1287) avec pour superviseur le Pr. Philippe Gallusci "Biodiversité Gènes et Communautés" (BIOGECO UMR 1202) avec pour superviseur le Dr. Grégoire Le Provost
Anecdote ou petit texte en lien avec la thématique de l'année Il existe dans le monde du vivant, des mécanismes qui prouvent que le futur d’un individu n’est pas uniquement défini par les cartes qui lui sont données à la naissance.

Le code génétique d’un individu (plantes, animal…) est immuable. Mais grâce à l’épigénétique, la façon dont ce code est ‘utilisé’ par les cellules de cet individu peut être modifié de manière stable dans le temps, que ce soit au cours de son développement, ou même en réponse à son environnement.

L’épigénétique est une branche de la biologie moléculaire qui s’intéresse à l’étude des changements héréditaires (à travers les divisions cellulaires) du fonctionnement des gènes qui ne peuvent être expliqués par une modification de la séquence ADN.

En d’autres termes, « La génétique propose, l’épigénétique dispose ».
Présentation de sa thématique Et si je vous disais que les plantes ont une mémoire ?

Sécheresse, fortes chaleurs … Ces stress parmi tant d’autres ne sont pas anodins, ils entraînent bel et bien des conséquences directes sur le développement de la plante. Mais pas seulement …

Mon sujet de recherche s’articule autour de l’étude des modifications épigénétiques en lien avec la mise en place de la mémoire des stress chez les plantes pérennes, et des conséquences que peut entraîner cette mémoire sur leur développement futur.
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